Bula! (Welcome en fidjien). Une petite escapade aux Fijis, situes a 4 heures en avion de Sydney. Ce sont les iles du Pacifique les plus proches et accessibles de l’Australie et sont a portees d’avions des compagnies low costs comme Jetstar ou la compagnie nationale Fiji Airways. Ainsi, ces iles paradisiaques sont accessibles a tous, que ce soit les bourses grace a la presence de nombreux backpackers a moindre frais y compris dans des iles reculees comme ceux souhaitant voyager en grand luxe. Et la gentillesse de la population fidjienne est tout sauf une legende!

 

Arrivée aux Fidjis

L’arrivée a Nadi, ou est situe l’aéroport international des iles Fidjis décontenance les visiteurs: Une ville assez grise sous des nuages persistants attires par le relief montagneux de Viti Levu et une population qui semble a dominante indienne ethniquement. L’étape est néanmoins incontournable pour bien préparer la suite de son voyage. Un peu d’histoire: la grande presence d’indo-fidjiens dans l’archipel s’explique par la presence encore tres important de migrants indiens employes par l’ancienne puissance coloniale britannique pour travailler dans les champs de coton fidjiens. Ils n’y sont jamais repartis, mais des tensions latentes peuvent persister entre la population mélanésienne d’origine et l’indienne et les partis politiques sont assez clives a ce niveau

Premieres impressions

Nadi downtown. Nous avions reserve un hotel dans les faubourgs de ville, pres de la plage histoire de se reposer des quelques 5 heures d’avion la séparant de Sydney et faire un break avant de partir vers d’autres îles, plus paradisiaques…
L’arrivée se fait par l’aéroport de Nadi, sur la grande île de Viti Levu. Elle est souvent brumeuse et nuageuse, et la ville de Nadi, point d’arrivée des visiteurs internationaux, ne fait pas vraiment rêver…c’est néanmoins un passage oblige, et qui vaut par son unique monument digne d’intérêt, son temple hindou, pour la population indo-fidjienne très presente sur la cote ouest de Viti Levu, a l’instar de la ville voisine de Lautoka. Les melanesiens sont plus presents dans les zones rurales ou plus reculées, ou encore dans la capitale, Suva.

Faites des provisions a Nadi si vous vous embarquez ensuite dans des archipels un peu plus recules, comme les Yasawas, ou vous devrez uniquement manger la nourriture locale: pas de supermarchés et encore moins de distributeurs automatiques!

Parmi les points a voir dans la region, citons:

Puis essayez de quitter Nadi au plus vite, soit pour parcourir Viti Levu en bus le long de la route de corail (les bus a ambiance fidjiens sont très sympas), soit pour les archipels paradisiaques caractéristiques de ces îles du Pacifique: Yasawas ou Mamanuccas via le ferry hop on-hop off « Yasawas Flyer » que nous avons pris, soit Ovalau, Caqelai…ou nous n’avons malheureusement pas pu nous rendre.

Ou avons-nous dormi?

  • Bamboo Backpackers: Un bon petit backpacker, bon rapport qualite prix avec des chambres honnetes et une ambiance tres conviviale ou nous sommes restes deux nuits. A 10 mns en voiture du centre-ville de Nadi (tres moche) mais a 1 mns a pied de la plage et d’autres bars, l’auberge est plutot bien situee et constitue une etape de repos pour les deux premiers jours en arrivant a l’aeroport international de Nadi avant de partir vers les vrais Fidjis, les plages paradisiaques des petites iles!

 

 

 

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